L'histoire de la chanson "Lullaby"

– “Lullaby” est une chanson du groupe anglais The Cure, issue de leur album Disintegration.

– Elle est sortie comme premier single de l’album en avril 1989.

– La chanson a connu un succès international, et a atteint les meilleures positions au classement des ventes de singles pour le groupe dans plusieurs pays européens, comme le Royaume-Uni où elle a atteint la 5e place.

– Aux États-Unis et au Canada, la chanson “Fascination Street” a été préférée comme premier single de l’album Disintegration. “Lullaby” est sorti plus tard dans ces deux pays, entrant dans le Billboard Hot 100 au début du mois de décembre 1989.

– La signification de “Lullaby” a été spéculée par les fans, notamment comme une métonymie de la dépendance, de la dépression ou de l’agression sexuelle, et Smith a offert de multiples explications quant à son thème ou son contenu, comme des cauchemars ou des abus dans l’enfance.

– Selon une explication de Smith, les paroles parlent des chansons inquiétantes que son père lui chantait lorsqu’il était enfant, et de la fin horrible qu’elles auraient toujours.

– Tim Pope, collaborateur de longue date de The Cure sur plusieurs de leurs clips, interprète “Lullaby” comme une allégorie du passé de toxicomane du chanteur Robert Smith.

– La chanson apparaît sur le single dans une version remixée, qui est allongée (Extended remix) sur le 45 tours et le maxi CD single.

– Deux chansons inédites, “Babble” et “Out of Mind”, occupent les faces B des 45 tours et maxi singles.

– Aux Etats-Unis, c’est la chanson “Fascination Street”, choisie comme premier single, qui hérite de ces deux mêmes chansons en faces B. Aussi, lorsque “Lullaby” sort quelques mois plus tard dans ce pays, ils sont remplacés par deux titres enregistrés en direct, “Homesick” et “Untitled”, que l’on retrouvera plus tard sur l’album live Entreat.

– Un CD vidéo est publié au Royaume-Uni avec trois pistes audio (“Babble”, “Out of Mind” et “Lullaby” dans la version étendue) et une piste vidéo comprenant le clip de “Lullaby”.