L’interprète souhaite qu’un cheval de course nommé Stewball lui appartienne. Stewball est décrit comme ayant une bride en argent et une crinière en or, et le narrateur est conscient que la valeur de sa selle est incommensurable. Dans une fête foraine bondée, Stewball est parmi les autres chevaux qui participent à une course, et le narrateur déclare que s’il avait parié sur Stewball, il aurait été un homme libre. Le narrateur est loin de chez lui et se lamente sur les cris des hiboux et les gémissements des tourterelles. Il termine en souhaitant que Stewball soit son cheval et qu’il ne boive jamais d’eau, mais toujours du vin.